Tourisme et Internet
La Boite a Truc n'est pas qu'une agence web qui confectionne des sites internet.
Nous travaillons bien sûr les notions de référencement naturel mais aussi dans le conseil et la stratégie digitale dans des domaines précis : le etourisme.
Notre expérience nous a mené par des chemins longs et tortueux jusqu'au travail ultime de gestion d'une centrale de réservation d'hôtels en Corse.
Et même si cela n'est plus le cas aujourd'hui, nous sommes toujours très impliqués dans ce domaine.
Nous travaillons bien sûr les notions de référencement naturel mais aussi dans le conseil et la stratégie digitale dans des domaines précis : le etourisme.
Notre expérience nous a mené par des chemins longs et tortueux jusqu'au travail ultime de gestion d'une centrale de réservation d'hôtels en Corse.
Et même si cela n'est plus le cas aujourd'hui, nous sommes toujours très impliqués dans ce domaine.
Hôtels et internet : je t'aime, moi non plus Gérer un tel outil permet de passer de l'autre côté des sites, le côté parfois obscur des "OTA" (brrrrr le vilain mot) et des centrales de réservations.
La double casquette "créateur de site pour des hôtels" VS " gestionnaire et référenceur d'une centrale" pouvait paraître parfois schizophrénique mais nous l'avons perçu plutôt comme une suite logique de nos idées dans le etourisme.
Subir en râlant ou s'adapter en rénovant ? Rien ne sert de se battre éternellement contre tel nouvel opérateur ou tel nouveau système.
Comme l'on se battait précédemment contre les tours opérateurs, les nouvelles destinations émergentes, les lowcost etc...le tourisme est un monde de revendication mais surtout d'adaptation.
Les OTA sont une forme sans doute plus rapide et violente de cette mutation, comme l'est encore plusl 'économie dite collaborative et les fameux Air BnB ou Uber.
Mais nous l'avons prôné du temps de notre implication intra-OTA, et nous le prônons encore : il faut savoir utiliser ces outils, il faut prendre du temps pour les comprendre et les employer au bon moment, pour augmenter les ventes.
Oui cela demande plus de travail, voir un nouvel organigramme dans l'hôtel.
Cela demande aussi souvent de repenser le site de son hôtel ou de sa location de vacances et d'y intégrer les infos que n'auront jamais booking.com et consort.
C'est aussi le moment de refaire de belles photos, d'écrire du beau contenu pour expliquer pourquoi dormir chez vous plutôt que chez votre concurrent, d'expliquer clairement ce qu'il y a à faire autour de votre chambre d'hôtes et surtout de permettre la réservation en ligne sur votre site.
Sinon,forcément, le client passera par une agence internet ouverte 24/24 et parlant toutes les langues.
La double casquette "créateur de site pour des hôtels" VS " gestionnaire et référenceur d'une centrale" pouvait paraître parfois schizophrénique mais nous l'avons perçu plutôt comme une suite logique de nos idées dans le etourisme.
Subir en râlant ou s'adapter en rénovant ? Rien ne sert de se battre éternellement contre tel nouvel opérateur ou tel nouveau système.
Comme l'on se battait précédemment contre les tours opérateurs, les nouvelles destinations émergentes, les lowcost etc...le tourisme est un monde de revendication mais surtout d'adaptation.
Les OTA sont une forme sans doute plus rapide et violente de cette mutation, comme l'est encore plusl 'économie dite collaborative et les fameux Air BnB ou Uber.
Mais nous l'avons prôné du temps de notre implication intra-OTA, et nous le prônons encore : il faut savoir utiliser ces outils, il faut prendre du temps pour les comprendre et les employer au bon moment, pour augmenter les ventes.
Oui cela demande plus de travail, voir un nouvel organigramme dans l'hôtel.
Cela demande aussi souvent de repenser le site de son hôtel ou de sa location de vacances et d'y intégrer les infos que n'auront jamais booking.com et consort.
C'est aussi le moment de refaire de belles photos, d'écrire du beau contenu pour expliquer pourquoi dormir chez vous plutôt que chez votre concurrent, d'expliquer clairement ce qu'il y a à faire autour de votre chambre d'hôtes et surtout de permettre la réservation en ligne sur votre site.
Sinon,forcément, le client passera par une agence internet ouverte 24/24 et parlant toutes les langues.
Gérer sa propre centrale de réservation. Ce billet est écrit après avoir visionné le traditionnel reportage d'avant saison. Le Nième réalisé par Via Stella (France 3 Corse) pour expliquer que le début de saison est bof.
Et même si ce n'est pas forcément l'écho que nous en avons auprès des hôtels qui nous ont confié leur site internet ( non non je ne fais pas de causalité) il est toujours agaçant d'entendre que les centrales prennent la plus part des réservations.
D'autant que le bassin d'Ïle Rousse dispose, avec son office du tourisme très dynamique, d'une vraie centrale forte depuis longtemps.
Mr Demarco a pris le virage internet très tôt et a vite compris l'intérêt pour une destination touristique d'offrir ce choix de réservation.
Non, il ne concurrencera jamais booking.com mais est ce le plus important. S'il dispose de chambres réservables sur son outil, il captera des prospects et généra des visites ou mieux des réservations.
Et vaut-il mieux donner 17 % à un leader de l'optimisation fiscale, ou quelques % de moins à un opérateur local qui lui même mènera des actions dans le tissu économique insulaire. To be or not to be...sur les centrales. Votre hôtel doit être partout, sur toutes les centrales, toutes les plates formes avec comme objectifs d'être visible. Qui dit visible dit visiter, du moins vers votre site.
Comme le précisait une étude 2014, une majorité d'internautes français cherchant sur Booking ou Expedia sont allés voir le site de l'hôtel.
Mais assez peu ont réservé sur ce site.
Les raisons sont désarmantes : Moins d'informations sur le site de l'hôtel que sur la centrale ( sic ) Des prix moins chers sur la centrale que sur la page tarif du site...non à jour des promotions ! Le site n'inspire pas confiance alors que Booking oui ! Et bien sûr, le grand classique : pas d'outils de réservation et paiement en ligne sur le site de l'hôtel. To have or not ...la réservation naturelle sur son site ? La réponse est OUI, mille fois oui. Pourquoi s'en passer si cela peut (va) vous aider à confirmer des dossiers qui sinon, ce feront au mieux via une centrale et au pire iront dans un autre établissement.
C'est tassez simple à installer sur le site.
Oui c'est une contrainte dans les premiers temps, une nouvelle source de stress, de temps, et peut être même un nouvel employé dans l'hôtel.
Mais l'arrivée de la TV dans les chambres, le wifi, la climatisation etc..ont aussi été source de changement dans les hébergements en Corse. Ils s'agit aujourd'hui de services indiscutables .
Alors il est surprenant d'entendre encore aujourd'hui les freins à l'installation de ces outils connectés sur les sites internet d'hôtels en Corse.
Et même si ce n'est pas forcément l'écho que nous en avons auprès des hôtels qui nous ont confié leur site internet ( non non je ne fais pas de causalité) il est toujours agaçant d'entendre que les centrales prennent la plus part des réservations.
D'autant que le bassin d'Ïle Rousse dispose, avec son office du tourisme très dynamique, d'une vraie centrale forte depuis longtemps.
Mr Demarco a pris le virage internet très tôt et a vite compris l'intérêt pour une destination touristique d'offrir ce choix de réservation.
Non, il ne concurrencera jamais booking.com mais est ce le plus important. S'il dispose de chambres réservables sur son outil, il captera des prospects et généra des visites ou mieux des réservations.
Et vaut-il mieux donner 17 % à un leader de l'optimisation fiscale, ou quelques % de moins à un opérateur local qui lui même mènera des actions dans le tissu économique insulaire. To be or not to be...sur les centrales. Votre hôtel doit être partout, sur toutes les centrales, toutes les plates formes avec comme objectifs d'être visible. Qui dit visible dit visiter, du moins vers votre site.
Comme le précisait une étude 2014, une majorité d'internautes français cherchant sur Booking ou Expedia sont allés voir le site de l'hôtel.
Mais assez peu ont réservé sur ce site.
Les raisons sont désarmantes : Moins d'informations sur le site de l'hôtel que sur la centrale ( sic ) Des prix moins chers sur la centrale que sur la page tarif du site...non à jour des promotions ! Le site n'inspire pas confiance alors que Booking oui ! Et bien sûr, le grand classique : pas d'outils de réservation et paiement en ligne sur le site de l'hôtel. To have or not ...la réservation naturelle sur son site ? La réponse est OUI, mille fois oui. Pourquoi s'en passer si cela peut (va) vous aider à confirmer des dossiers qui sinon, ce feront au mieux via une centrale et au pire iront dans un autre établissement.
C'est tassez simple à installer sur le site.
Oui c'est une contrainte dans les premiers temps, une nouvelle source de stress, de temps, et peut être même un nouvel employé dans l'hôtel.
Mais l'arrivée de la TV dans les chambres, le wifi, la climatisation etc..ont aussi été source de changement dans les hébergements en Corse. Ils s'agit aujourd'hui de services indiscutables .
Alors il est surprenant d'entendre encore aujourd'hui les freins à l'installation de ces outils connectés sur les sites internet d'hôtels en Corse.
Le retour de la fracture numérique. Alors que dire quand on entend ce reportage de France 3 Corse qui s'annonce ainsi :
Hoteliers et restaurateurs enregistrent une légère baisse de fréquentation par rapport à l'an dernier à la même période. Et des réservations qui passent toujours plus par internet.Que dire quand on pense que nous travaillons avec certains hôtels sur des applications mobiles de Room Directory faites à façon. Et que pendant le même temps, on s'exclut de cette manne de réservation directe et facile. Cela équivaut à laisser presque entièrement la commercialisation de son établissement aux centrales de réservations, sans contrôle.La fracture numérique se transforme alors en facture de commissions.
Crédit photo : Hotel Mariosa Porto Vecchio