Vous en avez forcément entendu parler ce week-end, l'affaire grand bruit car il existera dorénavant une jurisprudence : Oui on peut être licencier pour ses propos sur Facebook !
Illustration Facebook © Le Post
Comme disait un humouriste " est ce que l'on peut rire des Corse ? Oui ....mais faut pas !"
Et bien le parallèle est rapide avec Facebook.
Est ce que l'on peut tout écrire sur son facebook? Oui....mais faut pas se faire attraper !
Vous avez donc entendu parler de l'affaire de ses deux salariés de la SSII Alten qui dont on vient de confirmer en jugement le licenciement.
Motif : avoir échangé des propos critiques à l'encontre de leur employeur et avoir visé sans la nommer une personne de l'encadrement ! Fichtre quelle racaille !
Hier, le conseil de prud’hommes de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a validé leur licenciement.
Et bien le parallèle est rapide avec Facebook.
Est ce que l'on peut tout écrire sur son facebook? Oui....mais faut pas se faire attraper !
Vous avez donc entendu parler de l'affaire de ses deux salariés de la SSII Alten qui dont on vient de confirmer en jugement le licenciement.
Motif : avoir échangé des propos critiques à l'encontre de leur employeur et avoir visé sans la nommer une personne de l'encadrement ! Fichtre quelle racaille !
Hier, le conseil de prud’hommes de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a validé leur licenciement.
A notre sens, le propos n'est pas de savoir si les deux employés virés étaient de sales perturbateurs peu enclin à la hiérarchie, ou bien s'il est très malin de s'offusquer que l'on puisse lire ce que l'on écrit sur son "mur"...
C'est plutôt le process qui nous intéresse .
Facebook est a ce point rentrer dans les moeurs que cela va devenir un moyen de dégraisser un peu les effectifs et licencier les éléments peu productif.
Quoi? tu viens de battre ton record à Fram Machin ou à Buzz Truc ? Mais il est 15h37 et tu dois être à ton poste de travail. Nigaud va, tu est viré !
Qui d'entre vous ne s'est pas déjà fait la reflexion sur ces messages arrivant sur facebook dans la journée, de vos collègues, amis ou partenaires censés crouler sous le boulot.
Moi c'est pas pareil car je travail sur Facebook.
Mon patron m'oblige a faire du e marketing dessus.
Oups, j'ai failli me plaindre...peut être un blame ? car j'ai malencontreusement activé la publication automatique de mon blog sur Facebook, Twitter etc...
C'est plutôt le process qui nous intéresse .
Facebook est a ce point rentrer dans les moeurs que cela va devenir un moyen de dégraisser un peu les effectifs et licencier les éléments peu productif.
Quoi? tu viens de battre ton record à Fram Machin ou à Buzz Truc ? Mais il est 15h37 et tu dois être à ton poste de travail. Nigaud va, tu est viré !
Qui d'entre vous ne s'est pas déjà fait la reflexion sur ces messages arrivant sur facebook dans la journée, de vos collègues, amis ou partenaires censés crouler sous le boulot.
Moi c'est pas pareil car je travail sur Facebook.
Mon patron m'oblige a faire du e marketing dessus.
Oups, j'ai failli me plaindre...peut être un blame ? car j'ai malencontreusement activé la publication automatique de mon blog sur Facebook, Twitter etc...
L'histoire veut donc qu'un samedi soir trois collègues discutent sur Facebook .
L'un d'eux déclarant faire partie d'un « club des néfastes ».
La DRH en prend aussi pour son grade.
Mais un Judas traine par là, les valeurs du travail et de la morale sont sauvent !
Un "ami facebook donc" transmet les extraits du mur à sa hiérarchie.
Incitation à la rébellion !
Oui c'est bien l'un des motifs retenus !
Et hop, voila les 3 collègues licenciés.
Le plus fort étant dans le rendu du tribunal des prud'hommes : la faute n'est finalement pas d'avoir dit du mal, mais d'avoir mal paramétrer son mur, l'ouvrant à tous.
Nous quittons donc la sphère du privé pour celle du domaine publique ou bien sûr on ne peut pas dire du mal, pas se revendiquer du club des néfastes et pas nommer un cadre dirigeant de sa boite.
Euh, pincez moi mais j'ai dû mal lire tous les titres des journaux autour non?
L'un d'eux déclarant faire partie d'un « club des néfastes ».
La DRH en prend aussi pour son grade.
Mais un Judas traine par là, les valeurs du travail et de la morale sont sauvent !
Un "ami facebook donc" transmet les extraits du mur à sa hiérarchie.
Incitation à la rébellion !
Oui c'est bien l'un des motifs retenus !
Et hop, voila les 3 collègues licenciés.
Le plus fort étant dans le rendu du tribunal des prud'hommes : la faute n'est finalement pas d'avoir dit du mal, mais d'avoir mal paramétrer son mur, l'ouvrant à tous.
Nous quittons donc la sphère du privé pour celle du domaine publique ou bien sûr on ne peut pas dire du mal, pas se revendiquer du club des néfastes et pas nommer un cadre dirigeant de sa boite.
Euh, pincez moi mais j'ai dû mal lire tous les titres des journaux autour non?
Rédigé par La Boite A Truc le Lundi 22 Novembre 2010
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